TEBBOUNE BIENTÔT DE RETOUR EN ALGERIE: Le PE vote la résolution de la honte
Quelle ironie, qu’est celle des antagonistes et propagandiste, qui ne cesse de donner pour mort le chef de l’état, Abdelmadjid Tebboune. Pire encore, se sont des ONG et leurs relais médiatiques qui s’y sont mis à leur tour. A moins d’une quarantaine de jours après le transfert en urgence d’Abdelmadjid Tebboune en Allemagne pour raison de santé, les ennemis jurée de notre nation n’ont cessé, par leur thèse supposé, de verser vers la tragédie, en exploitant la moindre opacité quelle que soit ses raisons, pour spéculer sur l’état de santé du président de la République, alimentant rumeurs et interrogations sur la direction du pays. Une propagande amalgamé, d’une part, à une présupposée recrudescence de la pandémie du Covid19, puis assimilé à l’hospitalisation de l’Ex président Bouteflika. Tout est bon pour construire et nourrir l’intox, dans le seul but de déstabiliser le pays, allant jusqu’à voter une résolution du Parlement européen (PE) sur la situation des droits de l’Homme en Algérie. Toute fois, la riposte du ministre de la Communication, porte-parole du Gouvernement, Ammar Belhimer, fut des plus honorables que l’on puisse avoir en bon Algérien. Pour y répondre, le ministre cita le poète russe, Maïakovski, qui, a-t-il dit, « nous indiquait au siècle dernier, de si belle manière, l’attitude à prendre dans certaines situations: +Je ne mords pas à l’ordure, à l’appât de basses fredaines », il a estimé qu »‘une fredaine est définie par le dictionnaire comme +un écart de conduite, une folie de jeunesse, une frasque+, je dirais aussi +une vulgarité+ pour décrire le flot ininterrompu d’agressions verbales qui nous parvient de France ». Il a ainsi réitéré la réaction du Ministère des Affaires étrangères à ce sujet, dans le passage où il affirmait que « le PE a cru devoir adopter, selon une procédure dite +d’urgence+ pour le moins douteuse, une nouvelle résolution sur la situation en Algérie dont le contenu outrancier se résume à un chapelet d’injures et d’avanies à l’endroit du peuple algérien, de ses institutions et de l’Etat algérien ». « Le cyber harcèlement émanant d’usines à trolls étrangères, notamment israéliennes ou marocaines – avec le soutien technologique français – s’acharnent à faire voler en éclat le tissu social et à déstabiliser notre pays. Au-delà du « trolling » et de l’incivisme ou de l’agressivité comme registre d’expression, le cyber-harcèlement militant d’outre-méditerranée et les discours de haine qu’il propageait à une échelle inquiétante jusqu’à une date récente, est l’expression manifeste d’une ingérence intolérable ». Par bonheur, Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune est sur la voie de la guérison et regagnera le pays, près avoir quitté l’hôpital spécialisé en Allemagne.
Hadj Hamdouche