Un accueil chaleureux réservé au Président Mahmoud Abbas en visite d’Etat en Algérie

Un accueil chaleureux et officiel a été réservé au Président de l’Etat de Palestine, Mahmoud Abbas, qui a entamé dimanche après-midi une visite d’Etat de trois jours en Algérie.

Cet accueil chaleureux traduit les relations profondes existant entre les deux pays frères et le soutien indéfectible de l’Algérie à la cause palestinienne.

Le Président Abbas a été accueilli, à son arrivée à l’aéroport international Houari-Boumediene, par le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, ainsi que par les plus hauts responsables de l’Etat.

Il s’agit en l’occurrence des présidents du Conseil de la Nation, Salah Goudjil, de l’Assemblée populaire nationale (APN), Brahim Boughali, et de la Cour constitutionnelle, Omar Belhadj, ainsi que du Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane, et du Général de corps d’Armée, Saïd Chanegriha, chef d’Etat-Major de l’Armée nationale populaire (ANP).

 

21 coups de canon en l’honneur de l’hôte de l’Algérie

 

Les deux Présidents ont écouté les hymnes nationaux des deux pays avant de passer en revue un détachement de la Garde républicaine qui leur a rendu les honneurs, au moment où les 21 coups de canon retentissaient en l’honneur de l’invité de marque de l’Algérie.

Au salon d’honneur de l’aéroport, des membres des gouvernements des deux pays, ainsi que des représentants du corps diplomatique accrédité en Algérie ont assisté à la cérémonie d’accueil.

Pour rappel, le Président Tebboune avait, à maintes reprises, réitéré le soutien indéfectible de l’Algérie à la cause palestinienne et à la lutte du peuple palestinien pour le recouvrement de tous ses droits spoliés.

Il avait, en outre, appelé la communauté internationale à « assumer ses responsabilités historiques envers la violation par l’occupation sioniste de la légalité internationale et ses manœuvres visant à imposer la politique du statu quo, à se soustraire de ses engagements et à priver d’effet les conventions en vue de saper le projet d’édification de l’Etat palestinien souverain ».

Il avait également affirmé que la résolution de cette question passe par la proclamation d’un Etat palestinien indépendant sur les frontières de 1967 avec El Qods pour capitale.

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