LE TERRORISTE YAHIA MAKHIOUBA DEMISSIONNE DU CONSEIL NATIONAL DE RACHAD: L’argent sème la discorde entre les leaders islamistes

Sur la liste des 16 personnes classées comme terroristes et poursuivis par des mandats de recherche internationaux, les terroristes dont des membres du mouvement Rachad se trouvent acculés de toute part avec des déplacements très réduits a cause des mandats de recherches émis à leur encontre par Interpol. Parmi eux figure, un certain Yahia Mekhiouba. Membre du Conseil national de Rachad. Ce dernier est en conflit ouvert avec son organisation dont il dit qu’il en est démissionnaire, car les propos et les mensonges de tels énergumènes, changent selon les conjonctures, notamment quand il s’agit de sauver leur peau.

La situation ne semble arranger Yahia Makhiouba, suite aux mandats de recherches pour terrorisme et tout porte à croire, que le torchon brule entre les leaders de Rachad et les autres terroristes dont Amir Boukhors, allias Amir Dz. A écouter les versions des uns et des autres, l’origine du conflit n’est autre que le partage des recettes de la rente gagnées en contrepartie de diffusion de certains fake news et autres mensonges dans l’intention de nuire à l’Algérie. Tout cela en plus des rentes estimées à plusieurs milliers d’euros amassés grâce aux réseaux sociaux par le système PayPal.

Dans un poste publié sur sa page Facebook, Yahia Makhiouba, le terroriste en fuite et aux ordres de Mohamed Larbi Zitout, chef de file du mouvement terroriste Rachad, interdit en Algérie et classé dangereux du fait de la couleur islamiste et l’appartenance de ses leaders au FIS dissout, a dénoncé l’instrumentalisation de l’affaire du militaire en fuite Mohamed Abdellah par Amir dz, payé pour verser son venin virtuel sur la nation algérienne.

Il le pointe, ainsi, du doigt ouvertement pour avoir « gagné des sommes colossales » en instrumentalisant l’affaire de cet ex-sergent-chef de la Gendarmerie nationale, dont il a déserté les rangs avant de rejoindre l’Espagne en été 2018 et livré aux autorités algériennes en août 2021.

De son côté Mohamed Ben Halima, a mis à nu lui aussi, sur sa page du réseau social Facebook l’implication de Amir dz dans l’affaire de son interpellation par la police française. Cet activiste de Rachad et ex sous-officier de l’ANP déserteur avait été arrêté le 27 janvier dernier à Paris. Sa garde à vue de 48 heures s’est achevée par une assignation à résidence. Son arrestation a d’ailleurs mis le mouvement islamiste et tous ses relais en état de tension extrême.

Pour sa part, Mohamed Larbi Zitout s’est attaqué à Anouar Malek l’accusant d’avoir reçu d’importantes sommes d’argent émanant des pays du Golfe lors de ses missions subversives en Syrie, où dit-il « un groupe armé porte son nom » soulignant qu’il est à la solde du plus offrant entre «ses amis de l’Orient» et du Maroc.

Anouar Malek ne tarde pas à répliquer accusant ouvertement Zitout chef du mouvement terroriste « Rachad », d’exploiter de «la pire des manières » l’affaire de Mohamed Abdellah pour qui il a promis une collecte d’argent pour sa famille restée en Espagne ». « Des sommes colossales ont été récoltées sans jamais arriver aux véritables destinataires », accuse-t-il.

Afin d’éclairer l’opinion, il faut se rappeler que ces terroristes parmi lesquels les membres du mouvement Rachad  et donc ses leaders comme Yahia Makhiouba vivent avec l’argent des pays ennemis de l’Algérie, dont le Maroc et certains pays du Golf. Ces derniers lors de leurs multiples  manifestations anti Algérie dans la capitale française Paris et sa place de la République, n’hésitent pas à appeler au meurtre d’Algériens, Et ceci n’est qu’un réflexe de la triste décennie noire des années 1990, car tous ces individus faisaient partie du Parti islamistes du FIS et voudraient refaire vivre aux algériens cette tragique époque.      

Zitouni Mustapha