Hichem Aboud, un traitre à la Nation frustré

Il est connu de tous que le fuyard et classé dans la liste officielle des terroristes, Hichem Aboud vit depuis longtemps dans une grande  frustration, notamment vis-à-vis du corps militaire d’où il a été éjecté alors qu’il faisait fonction de simple subalterne, lui qui se targue dans les réseaux sociaux d’être gradé et de côtoyer des officiers supérieurs alors que ce ne sont que des affabulation sortie de sa petite tête. Ce Hichem Aboud, n’a en fait jamais fait partie des services des opérations techniques comme il le prétend, du temps de Mohamed Betchine, il a été utilisé pour le courrier en lui faisant faire quelques écrits, a partir desquels, il était considéré comme un simple secrétaire. D’ailleurs c’est ce même Mohamed Betchine qui a fait les frais de sa trahison puisque Hichem Aboud a tenté de lui subtiliser son journal connu sous le nom de « L’Authentique »

Cet individu qui a été ridiculisé par le Makhzen marocain, qu’il l’a plus utilisé comme une danseuse de festivités pour salir le peuple saharoui combattant. la lâcheté de Hichem Aboud, est arrivée au point d’user des pires actions, pour utiliser le non de feu Bouteflika pour mieux salir son frère Said alors que ce dernier est actuellement en prison. Une véritable lâcheté pour quelqu’un qui n’a jamais pu affronter de face Said Bouteflika ou tout autre responsable.

Même certains profanes qui le suivent sans comprendre à travers les réseaux sociaux qui lui permettent de se cacher, ces derniers ont vite fait de comprendre que Hichem Aboud, use de mensonge se prenant pour un haut responsable connaissant les arcanes de l’armée, alors qu’en fait, il n’a été qu’un coursier qui léchait les bottes de quelques gradés pour prétendre a se rapprocher de quelques cercles. Son éviction comme un malpropre de l’institution militaire lui reste en travers de la gorge pour finir sa vie derrière un réseau social a distiller son venin de haine contre l’Algérie qu’il ne pourra jamais atteindre. Un traitre à deux sous utilisés par d’obscures agences, mais le temps est compté pour ce lâche individu qui même caché dans son exil, ne peut circuler librement.

R.L