APRES LA PUBLICATION DE LA LISTE NATIONALE DES PERSONNES ET ENTITES TERRORISTES: Panique à bord chez les mercenaires

La liste établie par le ministère de l’intérieur constitue une première partie des  personnes classées terroristes et une seconde partie, ou sont notifiées les entités terroristes, vient d’être publiée dans le journal officiel N° 11 du 13 février 2022.     

Cette publication a pour but de notifier aux chargés de l’exécution pour prendre les mesures nécessaires afin d’interdire l’activité de la personne ou de l’entité inscrite sur la liste, saisir et/ou geler ses fonds et les fonds provenant des biens lui appartenant ou qui dépendent, directement ou indirectement, de son contrôle ou du contrôle des personnes agissant pour son compte ou qui obéissent à ses ordres.

La réaction de quelques concernées directement par cette liste ne s’est pas faite attendre, des vidéos mises en ligne démontrent a quel point, la panique s’est emparée des habitués des réseaux sociaux qui distillent comme a leurs habitudes mensonges et calomnies en usant d’un verbe de bas niveau et en insultant ceux qui ont pris l’habitude de les suivre sur ces mêmes réseaux. L’un d’eux d’un niveau scolaire du cycle primaire mais sans aucun autre niveau d’instruction, a choisi comme commerce de s’attaquer aux jeunes algériens qui ont réussi leurs études universitaires et qui sont aptes à prétendre légitimement et grâce a leurs compétences, à des postes dans des multinationales ou des institutions internationales qui recrutent sur la base de compétences et non pas sur le critère de parenté avec tel ou tel responsable. Mais ce qui irritent au plus haut point ces mercenaires de bas étages qui se font le plus souvent passer pour des journalistes alors qu’ils n’ont jamais connu l’effervescence d’une rédaction, c’est le coté réglementaire qui permet de geler leurs finances suivant les accords entre pays et c’est ce qui semble se dérouler avec certains pays qui hébergent ces personnes listées « terroristes ».

Des pays qui pour des conjonctures particulières, ont permis a ces personnes de s’exprimer depuis leur sol, tant que les attaques pouvaient perturber l’Algérie, mais il est clair que cela ne pouvait durer éternellement et ces mêmes pays seraient capables une fois la sale besogne finie, de jeter ceux qu’ils hébergent, comme une vieille chaussette sans scrupules ni regrets, les intérêts politique et économiques, pesant plus sur la balance qu’un campagnard venu de nulle part.

Ces derniers jours, la ridicule indemnité votée par le parlement français en guise d’indemnité aux harkis qui ont choisi leur camp du temps ou les algériens se faisaient massacrer à Sétif, Guelma et Kherratta, confirme qu’aucun pays au monde n’a de scrupule pour les traitres. L’histoire est un éternel recommencement et les mercenaires d’aujourd’hui ne semblent pas avoir retenu la leçon des traitres qui les ont précédés.

Zitouni Mustapha

 

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