Agression sioniste: « S’il existe un enfer sur terre, c’est bien à Ghaza »

Le porte-parole du Bureau de l’ONU pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA), Jens Laerke, a déclaré que les aides humanitaires ne peuvent pas être acheminées au nord de la bande de Ghaza, qualifiant la situation dans ce territoire d' »enfer sur terre », en raison de la poursuite sans répit des bombardements violents et des attaques sionistes contre l’enclave palestinienne.

« S’il y a un enfer sur terre maintenant, c’est bien le nord de Ghaza », a déclaré Jens Laerke, lors d’une conférence de presse tenue au siège de l’Office des Nations unies à Genève.

Laerke a évoqué la « détérioration de la situation humanitaire dans la bande de Ghaza, assiégée et soumise aux attaques dévastatrices » menées depuis 37 jours par les forces d’occupation sionistes, alors que la population de ce territoire est privée d’eau, d’électricité, de nourriture et de médicaments

Le responsable onusien a souligné que l' »acheminement des aides à bord des camions des Nations unies au sud de Ghaza se fait de manière limitée, en raison de la densité élevée de la population et qu’elles ne peuvent donc pas parvenir aux habitants ».

Pour la 37e journée consécutive, l’armée sioniste poursuivait dimanche son agression barbare contre Ghaza, au cours de laquelle elle a détruit des quartiers résidentiels, et fait plus de 11.200 martyrs, en majorité des enfants et des femmes, et près de 30.000 blessés parmi les Palestiniens, selon des sources palestiniennes officielles.

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